Il a fallu qu'un jour Dieu sauve
“Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et
son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes,
homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne
le visage ...“ ainsi s’exprime le prophète Esaïe pour dépeindre et annoncer la
venue de Jésus. (Esaïe 53)
Marie, vierge, fut choisie pour recevoir miraculeusement en
son sein le Messie promis : Jésus. Elle ne coucha pas avec son fiancé, Joseph.
Sa naissance eu lieu dans le même temps que Jean Baptiste.
La naissance de Jean Baptiste annoncée par le prophète Esaïe
fut une naissance surnaturelle, Elisabeth, la femme de Zacharie, étant stérile,
ne pouvait avoir d’enfants. Et comme chaque fois que Dieu agit sur la terre
pour établir son plan de rédemption, il y a miracle sous les yeux des humains,
l’impossible devient alors possible ! Jean Baptiste est né avec en plus – il faut le
préciser – un bonus spécial d’en haut : “il fut rempli du Saint-Esprit dans le
sein de sa mère“ (Luc 1.15). Pour Jésus, le cas est différent, il n’a pas eu
besoin d’être rempli du Saint-Esprit, parce que lui, vient d’en haut ; Jésus n’a en
réalité, ni commencement, ni fin (comme son Père), et il détient lui-même (comme
son Père) le Saint-Esprit.
Lorsque Jean Baptiste vit Jésus venir à lui, il déclara :
“Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde“
Jean Baptiste est le premier témoin de Jésus.
“Voir“ Jésus et le reconnaître est le plus grand privilège
pour un humain.
Après la mort de Jean Baptiste, voici ce que Jésus déclara
de lui :
“Je vous le dis en vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui.“ (Matthieu 11.11)
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